Les Jonquilles, Corrèze, 17 septembre 2023

18 octobre 2023 Non Par Alain

Sept participants : Des nouveaux, Lucie et Thomas. D’anciens nouveaux, Tiphaine et Florian. Un ancien nouveau plus très frais, Lionel. Des vraiment anciens, Patrick et Alain.

Rdv ce dimanche à 10h00 au loft pour les cinq anciens et un petit café, la récupération du matériel et l’entassement de l’ensemble dans le panzer de Patrick.

A onze heures et demi on retrouve

Lucie et Thomas sur le parking des Jonquilles. A l’issue de trente seconde de concertation on décide de casser la croûte avant de descendre, c’est un peu un horaire de maison de retraite mais bon, vu le nombre d’anciens de tous poils…

Lucie et Thomas ont déjà eu droit à une séance d’initiation à la progression sur corde à la falaise de Rochebêche deux semaines auparavant, alors après le harnachement de chacun et …

… un bref rappel de la mise en place du descendeur -pour la remontée on verra plus tard- c’est parti.

Comme tous les dimanche, Patrick attaque son chemin de croix à genoux.

J’y vais … j’y vais pas ?

Trop tard !

Les draperies de la galerie fossile.

La ballade se termine à la rivière du côté de la galerie des merveilles.

Après la bataille, les troupes épuisées mais fières rêvent de bière fraiche et de retour dans leurs foyers. Le général se désole devant tant de laisser-aller. Tout cela est-il bien utile ?

spéléologie Limoges Haute-Vienne

Vers 18h00 nous sommes de retour au parking, le matériel de nouveau entassé dans le command-car de Patrick, et à 18h30 on décolle pour un voyage tranquille vers Limoges : on y sera pour l’apéro du dimanche soir. Des orages étaient annoncés mais on n’a rien vu.

En fait on n’avait encore rien vu.

Plus on avance, plus le ciel est menaçant. En arrivant à Pierre-Buffière un déluge s’abat sur l’autoroute. Quelques kilomètres plus loin tout le monde est à l’arrêt. La route est inondée, personne ne passe.

Alors on attend, il n’y a que ça à faire. Et on n’a même pas de jeu de tarot (c’est dommage on est cinq).

Puis c’est la décrue et vers neuf heures et demi on est de retour au loft pour déposer le matériel.

Même pas mal.

Alain